Une Escouade à St-Sauveur

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Harry était assis dans une tente.
Depuis qu'il avait débarquer, il était angoisser, voir stresser.
Il pensait sans cesse à sa famille qui était dans le Wyoming. Il voulait retrouver sa mère ...
Au loin, les Allemands bombardaient une position. Ont pouvait entendre clairement l'obus qui explosait quand il avait toucher le sol.

Harry regardait la photo de son ex-petite amie, qui avait divorcée avec Harry durant son entraînement.
Harry regarda la photo et la jeta sur le sol en versant des larmes.

Harry voulut que le divorce ne se soit jamais passer. Il aimait sa petite-amie, mais elle se languissait sûrement de sa présence.

Harry se leva et déposa sur casque sur une table dépliante.
Harry sortit et remarqua Perconté. Il discutait avec un caporal. Harry reconnut Hellwich.

Il soupira et il se dirrigea vers eux. Une Willys coupa la route de Harry, mais Harry ne dit rien et s'avança vers les deux soldats.

Cpl Helwich : "Adjudant ! Bien dormit ?"

Harry marmona quelque chose d'incompréhensible. Helwich se résigna à comprendre.

Sergent-Chef Marc Perconté : "Nous étions entrain de parler du débarquement en Provence.Pierre signalait que la résistance Allemande n'avait pas été vraiment ... Forte ... Du moins, ils n'ont même pas envoyer des Panzers..."
Adjudant Harry Piers :"Ils commencent seulement à comprendre qu'ils vont perdrent la guerre, voilà tout ..."

Harry se tut et regarda le camps Américain. Plusieurs camions étaient partit pour porter renforts aux troupes qui éssayaient de s'emparer de Caen.

Adjudant Harry Piers :"Sinon, comment va ?"
Sergent-Cher Perconté :"- J'aime l'hospitalitée des Français ... Hier ils m'ont offert quatres bouteilles de vins !"
Cpl Helwich :" Hum ... Et tu n'as même pas voulut partager ..."
Sergent-Chef Percomté :" Tu pense, un vin pareil, ca se conserve."

Harry donna une tape amicale sur l'épaule de Perconté et marcha un peu, éssayant d'ouvrir une conserve.
Soudain, un soldat s'approcha de Piers et il le salua. Piers fit de même et le soldat dit :

Pft Ugriel :" Le Commandant vous demande Adjudant."

Harry le remerçia et s'en alla dans la direction de la tente du Commandant.

Harry finit par abendonner l'idée d'éssayer d'ouvrir cette conserve et décida de la jetée.
Il continua de marcher vers la tente où logeait le Commandant Jiff.

Harry arriva à destination. le Commandant était en Compagnie d'un autre adjudant et ils regardaient tout deux une carte.
Harry salua les deux hommes.

Commandant Jiff :" Ah ! Adjudant Streker, voici l'Adjudant Piers. Il dirrige la 4eme Escouade."

L'adjudant Streker s'approcha d'Harry et il lui serra la main.

Commandant Jiff :" Bon, je vous ai appeler pour que nous arrêtions de dormir ici ... Il faut progresser dans le sud des terres pour que l'ont soit les premier à Paris. Malheureusement, Dwight veux laisser leur chance aux Français ... Bon. Nous sommes ici, à exactement dix Kilomètres de Carentan, ville désormait aux mains de la 101e. La 82e avançe vers Saint-Sauveur le Vicompte et j'ai le projet de vous envoyez là-bas comme sorte de ... Poste avancer. Vous arriverez avant la 82e et vous les attenderiez."

Harry ne dit rien. Il était las de la guerre ... Il en avait marre, mais il ne pouvait pas refuser une mission ...
Attendre les renforts étaient un objectif qu'il détestait ...

Commandant Jiff :"Vous amenerez vos deux escouades dans deux parties différentes de la ville. Seule la forteresse tient encore debout, donc les ruines seront une bonne converture. Vous partirez demain. Messieurs ... Maintenant j'ai à faire."

Le Comandant chassa Piers et L'autre adjudant de la tente. Ils se retrouvèrent dehors.
L'Adjudant avanca vers Harry et il lui demanda :

Adjudant Kell's Heirig :" Tu as combiens d'hommes ?"
Adjudant Harry Piers :" Trop peu."

Harry ne dit put rien et s'en retourna à sa tente.

Harry passa le reste de la journée à étudier la carte représentant St-Sauveur avec l'Adjudant Heirig.
St-Sauveur avait étée bombardée de nombreuses fois et la ville était entièrement en ruine.

La 1ère Brigade était partit avec leur convois. Il ne reste plus beaucoup d'hommes.
Il y avait encore quatres Half-Track, deux tank( Un Sherman et un Stuart).

Harry et Heirig avaient enfin finit de faire leur petite stratégie sur carte.
Ils firent une pose et ils s'asseillèrent juste devant leur tante.

Adjudant Harry Piers :"Au fait, Heirig, ce n'est pas un nom Américain ?"
Adjudant Heirig :" Non, c'est un nom d'origine Allemande. Mon Père était Allemand et ma mère Américaine. Elle à divorcée lorsque j'avais 15 ans. Encore heureux car quelques années plus tard il était enrôlé dans le parti Nazis ..."

Harry regarda attentivement Heirig et soupira.

Adjudant Harry Piers :" Moi, mes parents sont mort ... Ils étaient ... Ils étaient fermiers dans le Wyoming ... J'ai dus vendre la ferme et m'enrôlée à contre-coeur à l'armée. C'était en 1937... Je n'imaginais devoir débarquer et reprendre la France ..."

Les parents d'Harry lui manquait ... Soudain, quelqu'un s'approcha des deux Adjudants.
Il avait un papier dans sa main. Les deux adjudants se levèrent et l'homme parla.

Cpl Thom :" Voici la photo de la reconaissance aérienne d'hier de St-Sauveur que vous avez demandez Adjudant Heirig. "
Adjudant Heirig :"Merci Thom"

Thom hocha la tête et repartit.
Heirig prit la carte et entra dans sa tante. Piers le suivit. Il déploya la photo sur une table pliante et St-Sauveur se dévoila.

C'était un amas de ruine. Seule la forteresse était conaissable, ainsi que la Cadédrale, c'était assez surprenant.

Adjudant Heirig :" Se sera plus facile avec ceci ... Bon ... Ici, la forteresse ..."

Il avait prit un crayon et cochait chaque lieu qu'il citait.

Adjudant Heirig :" Le Boches l'ont sûrement protègée avec un petit escadron ... Donc pas trop de problème ... heu ... Tu entreras avec ton équipe là. Heu ... Au Nord-Est de la Forteresse. Je te rejoindrai par le Nord-Est.
Ici, ce serait notre lieu de rendez-vous. Ont fera jonction et ont établiras un QG de fortune dans un batîments différents encore debout ..."

Harry écouta l'Adjudant Attentivement et se mémorisait les endroits important.

Adjudant Heirig :" Bon, une fois dans nos ptites maisons ... Il faudras réussir à couvrir ce ... Ce carrefour, là ! Oui, 'suici ! Donc, il nous faut deux maisons les unes à côtés des autres et encores debout ... Heu ..."

Harry regarda attentivement les maisons qui surponblaient le carrefour. Il en aperçut deux qui n'était pas trop détruite à vue d'oeil. Il dit :

Adjudant Harry Piers :" Moi j'irai dans celle-ci. Toi, dans celle-là. Elles sont en bonne état ..."

Heirig regarda les maisons montrée par Harry il aquiesça et rangea la photo dans une de ses poches de sa veste.

Adjudant Heirig :" Parfait. Bon, ont part demain à 7h00. Va falloir marcher. N'oublie pas de brieffer tes hommes. Salut !"

Heirig partit sans rien dire de plus ...

Harry rejoignit ses hommes qu'une heure plus tard. Il avait réflèchit a ce qu'il allait dire.
Ses hommes mangeaient leurs rations. A son arrivée, Marc Perconté avança vers lui et jeta sa ration dans l'herbe.
Il arriva près de Harry et il lui dit :

Sgt-Chef Perconté :"Alors, ca va ?"


Harry ne savait pas quoi répondre. Il dit simplement :

Adjudant Harry Piers :"Fais-moi plaisir, rassemble les hommes veux-tu ..."


Perconté le regarda un instand et partit vers les hommes qui mangeaient une ration K.
Lorsqu'ils furent rassembler, Harry n'y alla pas de 2 mots.
Il leur raconta en détaille l'opération.

Les Hommes écoutaient attentivement. Harry venait de leur expliquer où ils allaient se cacher durant ces quelques jours en attendant le renforts.
Lorsque Harry eut terminer, les Hommes ne protestèrent pas mais la deception se lisait dans leur yeux.
Quelques soldats soupirèrent et retournèrent s'asseoir.
Perconté et le Caporal Helwich approchèrent. Le Caporal Helwich dit :

Cpl Helwich :" Il y à combien d'Allemands dans ce patelin ?"
Adjudant Harry Piers :" Au moins toute une compagnie de Fallschirmjäger..."

Helwich soupira et retourna près du reste du groupe. Harry fit demi-tour et commença la route vers sa tante. Perconté le suivait.

Sgt-Chef Perconté :"Alors, c'est qui se Heirig ?"

Harry avait parler de l'Adjudant Heirig lors du Briefing.

Adjudant Harry :"C'est un gars de la 4e Escouade. Son père était shleu mais sa mère a divorser ..."

Harry et Perconté s'étaient arrêté devant la tante de Piers.

Adjudant Harry :" Quand ont seras là-bas, il faudra attendre plusieurs jours pour que les hommes de la 82 arrivent ... Apporte des vivres et des minutions en plus ... Vole, fait ce que tu peux pour en trouver. Ah demain."

Perconté avait aquiescer tandis que Piers était rentrer dans sa tante pour passer une nuit sans sommeil.

Durant l'entièretée de la nuit, Harry fit des rêves où il se voyait au mains des Nazis.
Il finit par se réveiller en sursaut. Heureusement, il n'avait pas de voisin de lit et il fut soulager que personnes n'ait vut qu'il s'était réveiller si brusquement.

Harry enfila sa veste et sortit de sa tante. Tout le monde dormais dans le camps. Il n'y avait aucun bruit.
Harry commença à marcher. Il regarda sa montre. Il était 4h20.

Il continua à marcher et aperçut une fine lumière dans la tante qu'occupait Perconté, Helwich et le Caporal Henry Wells.

Il s'approcha discretement de leur tante et l'ouvrit. Les trois hommes discutaient et sifflant une bouteille de vin. Ils n'étaient pas sous, mais ils voulaient juste boire un coup.

Adjudant Harry Piers :"Eh bien, vous êtes bien matinal vous ..."
Sgt-Chef Perconté :"L'avenir appartient à ceux qui ce lèvent tôt hein Henry ?!"

Le Caporal Henry Wells et le Sergent Perconté pouffèrent de rire et burent un autre coups de vin avant de balancer la bouteille hors de la tante.

Adjudant Harry Piers :"C'est pas bien de gâcher une aussi bonne bouteille de vin ..."

Harry avança et entra dans la tante. Il s'assit à côté de Perconté.

Cpl Henry Wells :"Alors Piers, prêts pour la grande bataille ?"
Cpl Helwich :"Remplace Bataille par Massacre ..."
Cpl Henry Wells :"Mais nan, suffit juste d'attendre le renfort et encore, il faudra résister à une compagnie entière de Fallsmachin chose ... C'est tout ... Bien sûr il y aura surement des Panzers et des vieux en culotte course qu'a recruté Hitler, mais bon ..."

Les trois hommes éclatèrent de rire.

Adjudant Harry Piers :"Les gars, faudras pas se défiler cette fois, c'est du sérieux."
Sgt-Chef Perconté :"Ouais ... C'est ça ... Vive l'armée ..."

Harry donna une tape amicale sur l'épaule de Perconté.

Adjudant Harry Piers :"Bon, je vais réveiller les autres ... Ont va courrir un peu non ?"

Les trois hommes firent non de la tête.
Harry souria et ils passèrent le reste du temps à parler de tout et de n'importe quoi. Soudain, la tante s'ouvrir et le visage pâle de Heirig fit son apparassion.

Adjudant Heirig :"Allez, debout ! Ont part !"

La route était longue avant St-Sauveur. Les soldats risquaient de rencontré une poche de résistance Allemande avant d'entrée en ville.
Les soldats étaient donc prudents.

L'escouade de Piers avançaient sur le chantier tandis que l'escouade de L'Adjudant Heirig avançaient dans l'herbe, en tirailleur.

Les soldats avançaient déjà depuis une demie-heure.

Avant de partir, Perconté avait prit un sac de plus qui contenaient des vivres et des munitions. L'Adjudant Heirig avait prévut que pour ces hommes. C'était Heirig qui avait le sodlat qui portait la radio.

Soudain, tout les soldats s'abaissèrent. L'escouade d'Heirig s'était arrêtée.
Heirig quitta les rangs et se dirrigea vers Piers :

Adjudant Heirig :"Il y à une ferme de l'autre côté... La ville est encore à trois kilomètres... "

Piers demanda à ses hommes de quitter le chantier et de se mettre à couvert dans l'herbe. Ils obéissèrent.
Piers prit les jumelles d'Heirig et regarda la ferme en question. Elle était petite certe, mais contribuait à une position stratégique pour empêchée l'avance des tanks vers St-Sauveur.

Ajudant Harry Piers :"Il faut envoyé un homme en éclaireur, pour voir ce qu'il en est... Legg !"

Un soldat qui portait des lunettes quitta le rang et se précipita vers Piers.

Adjudant Harry Piers :"Avançe discretos vers la ferme là-bas. Si il y à du mouvement du ouvre le feu OKAY ? S'il n'y à rien, tu nous couvre et ont te rejoindra."

Le soldat hocha la tête et revenut sur le chantier de terre. Pendant un moment il ne bougea pas, puis il se mit à courrir dans la direction de la ferme.
Pendant un moment, il ne se passa rien, puis un coup de feu surgit de la ferme.
Le Soldat Marc Legg fut toucher et il s'écroula. Il était mort.

Harry regarda le corp inerte de Marc Legg. Ont pouvais apercevoir le sang qui coulait près de son cou.
Plusieurs soldats s'affolèrent :

Soldat :"D'où venait le coups ?"
Soldat :" Merde ! LEGG !"
Soldat :"Non ! Non ! Où sont ces foutus bosh ?"

Harry resta calme ... Il éssaya de revoir la scène ... Le Coups de feu venait de l'étage ... Troisième fenêtre à droite. Oui, c'est ça !

Harry s'approcha d'Heirig et dit :

Adjudant Harry Piers :"A l'étage. 3e Fenêtre à droite. Divise ton groupe en deux équipe et prends la ferme à revert. Wells, Helwich !"

Deux hommes quittèrent les rangs tandis que l'Adjudant Heirig briffait ses hommes.

Adjudant Harry Piers :" Wells, tu prends ton équipe et tu avançe à droite. Dans l'herbe. Heu ... Helwich, toi tu viens avec moi sur le chantier. Ont se retrouve à la ferme. Le boch est à l'étage, mais ils sont surement plusieurs. Essayer de faire prisonnier les Officiers. Allez, go !"

Les deux hommes briffèrent leurs équipes. Helwich et ses soldats rejoignirent Harry qui était à couvert sur le chantier. Harry fit signe aux différentes équipes d'avancer.

NB : Non comment je sais que c'est laid.
La maneouvre commença. L'équipe de Heirig disparue du champs de vision de Piers, tandis qu'il progressait en compagnie de Helwich.
L'équip de Wells continuait sa route. Soudain, l'Allemand les repèra. Plusieurs soldats s'arrêtèrent mais Piers continua sa route. Il était arriver à hauteur du premier batîment qu'avait la ferme. Piers se cachait tandis que Helwich et son équipe progressait dans la cour.
Plusieurs Allemands ressortèrent de la ferme et ouvrirent le feu sur les soldats d'Helwich qui ripostèrent.
Piers prit son fusil et ouvrit le feu. Une fois qu'il y eut le champs libre, Piers s'avança et jeta une grenade dans l'entrebaillement de la porte.

Lorsqu'elle explosa Harry, laissa entré le caporal en premier.
D'enas, ils endendaient les coups de feu de la mitrailleuse énemie.

Harry serra son Thompson dans ses mains et fouilla les pièces.
La premier pièce qu'il fouilla, ne contenait que quelques affaires d'officier mais la 2e habritait des villageoises...
Leurs visages étaient blême. Harry les regarda durant 3 minutes, puis il sortit sans rien dire.

Harry et le caporal Helwich montèrent les escaliers.
Le caporal se positionna à gauche de le porte où se trouvait la mitrailleuse énemie.

Le caporal ouvrit la porte, puis Harry, presque immédiatement, balança une grenade dans la pièce. Celle-ci explosa en rendant la pièce impraticable.

Harry entra.

Après que la fumée fue dissipée, il put voir le corp de trois Allemands.
Un, avait un grade de Kapitain, le second, n'était qu'un simple soldat d'infanterie, le troisième était un personnage gradé.

Un colonel, surement. Il avait sur sa tenue, une croix de chevalier et une croix de fer.

Harry aperçut en bas l'équipe de l'Adjudant Heirig. Il leur fit signe et regarda à nouveau l'officier.

Cpl Helwich :"Mince, ont à toucher le gros lot..."

Helwich baissa sa main pour prendre la Croix de Fer que l'Officier avait attacher sur sa veste.
Harry se précipita sur Helwich et l'empêcha de faire son geste.

Adjudant Harry Piers :" Laisse ça ! C'est grace à son courage qu'il à eut cette médaille. Ca te plairais si l'énemit te volais une Médal of Honor ?"

Harry se tut et regarda Helwich. Il semblait hésitant. Il abendonna alors l'idée de lui prendre sa médaille. Il ajouta simplement :

Cpl Helwich :" C'est toute la dignitée qu'il lui reste, Piers."

Helwich sortit sans rien ajouter.
Les soldats occupèrent la ferme et ils parlèrent avec les villageoises.
Mais les Françaises ne parlèrent pas un mots.

Harry sortit et se dirrigea vers le corp de Legg. Il aperçut que deux silouettes étaient à ses côtés. C'étaient le Caporal Henry Wells et le Soldat Jean Campton.

Campton était le meilleur amis de Legg. Henry éssayait de le réconforté.

Soldat Jean Campton en pleurant :" Je ... J'avais promit à s-sa mère de l-le pr-r-r-rotèger ... Je l'ai laisser tomber !"
Cpl Henry Wells :" Mais non, mais non ... C'est le destin de tout le monde de mourrir... Qu'importe si c'est plus tard, maintenant ou hier."

Harry regarda les deux hommes. Harry prit sa gourde et but une georgée. Il sentit alors que quelqu'un avait poser sa main sur l'épaule d'Harry. Harry se retourna et aperçut l'Adjudant Heirig :

Adjudant Heirig :" Bon boulot Piers .... Bon boulot. Les hommes vont se reposer ici avant de repartir. Dommage pour ce soldat ... Ont n'y pouvais rien."

Harry se retourna et lui répondit sèchement :

Adjudant Piers :"Ce que tu ne comprends pas Heirig, c'est que le destin de ces hommes sont entre nos mains, et moi, je viens de détruire une vie."

Harry retourna alors à la ferme, pour profiter des quelques minutes de repos.

Plusieurs soldats éssayaient de parler avec les villageoises. Mais elles ne comprennaient sûrement pas l'Anglais.
Harry regarda l'ensemble de la ferme. L'étage avait été ravager par la grenade et il était complètement invivable.

La pose allait être de courte durée ... Harry se leva et regarda Heirig qui ne semblait plus vouloir parler à Harry.

Harry avança. Un soldat possédait une radio et il éssayait d'appeler le GQG.

Soldat :" Allo, PC ? Ici FOX GREEN ! Allo ?"

"Allo Fox Green, ici PC, nous vous recevons."

Soldat:" Parfait, Adjudant, j'ai le PC !"
Adjudant Heirig :"Laisse-moi maintenant. Allo PC ? Ici Heirig, avons recontré poche de résistance dans ferme. Kapitain tué par grenade. Sans doute poste d'observation, avons sûrement été repérer. Civiles sur place, demande évacuation des civils. Un homme mort."

"Bien, allons envoyez équipe médicale pour civile. Continuez mission, terminer."

L'Adjudant Heirig se tut et remercia le soldat. Il annonça aux troupes qu'il fallait repartir.

L'equipe reprit la route à contre-coeur. Il n'était plus bien loin de St-Sauver.

L'escouade du Caporal Wells était bouleversée par la mort de Legg, mais elle ne le fit pas sentir.
Ils continuèrent à marcher en suivant le même chantier boueux et terreux.

Le vent se lèvait tandis que des nuages couvraient le ciel.
AU loin, ont pouvait entendre des bombardements et des coups de feu.

Le périple était angoissant...

Au loin, ont distinguait des fumée et arfoit des explosions. Quelques soldats papotaient pour tuer le temps.
Puis, le paysage changea et une rangée d'arbre contournaient la route et un panneau fut perceptible.

"ST-SAUVEUR LE VICOMPTE"

La troupe ralentissa l'allure et ils se séparèrent. Au milieu du chemin, il y avait une carcasse de blindé.
Tout le monde s'arrêta.
Heirig rejoignit Piers qui était cacher derrière la carcasse.

Adjudant Heirig :"Nous y voici. Je vais entré avec mes hommes par le Nord-EST. La Forteresse est juste là. Ont se contacte une fois en position par radio."

Harry aquiesça et il regarda Heirig partir avec son équipe jusqu'à ce qu'il ne soit plus visible.