Tony à Omaha

6 juin 1944, 21h30:

Enfin ! Enfin la plage de Omaha Beach était libérée, Tony avait passée de longue et sales heures sur cette plage, pendant un long moment il s'était demandé si il allait en sortir vivant, mais oui, après 5heures de dure combat, Omaha Beach était sous le contrôle des alliée.

Tony avait aidé à libéré la plage, il aviat ramener la 4ème du génie, sous le feu de l'artillerie, son copain Sanders n'avait pas eut cette belle chance, Tony regardait une dernière fois son corp dans un grand sac en plastique avant le corp médical ne l'envoie chez sa famille.

Tony parta alors vers sa tente qu'il avait posté à droite du Bunker principale près du Q.G. de la Big Red One, Tony esparait dormir cette nuit en paix. Il marcha le long des tranchées avant de se trouver face à face avec le Lt de sa section :

Lt Gabe:Ah ! Hall, on attendait plus que vous !
Tony: Plus que moi ? Pourquoi ?
Lt Gabe: Rendez vous au G.Q.G. pour un brieffing général !

Sans dire un mot de plus, Gabe fit demi-tour et s'en alla vers le Bunker où allait se tenir le brieffing, Tony laissa échapper un gros juron, il ne s'étaitpas encore reposer et ne s'était pas encore lavé, il avait juste eu le temps de casser la croute avec un de ses amis : Martin, qui avait rejoint le Bunker pour sa plaie au front.

Tony marcha alors vers le Bunker sans dire un mot, il croisa de nombreux tank qui se grouillait de traverser la plage t de rejoindre Vierville, pour la jonction avec la 101ème, Tony n'avait pas voulu y aller, il aurait peut-être du ...

Le Bunker n'était pas très lin: 10m tout au plus, Tony ouvrit la longue porte en passant devant les MP qui la gardait, il présenta son matricule et son but, les MP le laissèrent entré sans gros problème.

Le Bunker était bondé de soldat et officiers, tout son régiment devait être présente. Un colonel se tenait fièrement devant son bureau bondé de paperasse, Tony se placa à l'écart avant d'entendre le colonel commencé:

Colonel Mering: Bon, nous pouvons enfin commencer !

Il déploya une longue carte d'une région de la normandie, il pointa un long baton suivant une courbe:

Colonel Mering: Le 4ème régiment donc vous se postera dans ses environs de la Normandieà 13Kilomètre de Carentan, en tant que secour, vous resteré jusqu'a ce que la 101ème vous contact pour dire qu'ils entrent à Carentan.

Il eut un assez long silence, tous le monde savait se qui allait se passé:

Colonel Mering: Votre mission : Soutenir cette position de renfort, ensuite partir pour Carentan faire une percé au Sud de la ville, il va falloir prendre des provision pour près d'une semaine, si dans une semaine la 101ème n'est pas à carentan, percé la ville tout seul, c'est tout se que j'ai à dire !

Après un court silence, le Colonel s'en alla suivit de tout le régiment, d'après le Lt, des camions de transports nous attendaient à l'arrière d'Omaha, près à partir la région de Carentan sous contact Allemand

Omaha Beach, 22h00:

La nuit était perturbé par le bruit des moteurs des camions, le régiment allait partir pour un hameau à 13Km de Carentan, il fallait s'attendre à une grande résistance de la part de énnemis, les PanzerGrenadiere de la 4ème était posté dans les alentour, Tony quand à lui monta avec son barda dans son camion, près à combattre bien que le moral n'y était pas...

Un de ses amis : Arty Sanders, un bête soldat comme tout le monde que Tony àprécia pour sa simplicité d'esprit, il avait sur le front un gros bendage, il salua Tony avant de parler en se fortant les bras:

Sanders: Heureux de te revoir Tony, alors si j'ai bien compris le Lt on repart ?
Tony: Malheureusement oui, on part dans un petit Hameaux à quelque kilomètre de Carentan ...

Il eut un boucan de moteur et les camions s'élancèrent dans leurs route vers le Hameaux, les hommes de la section de tony restairent sans voix, ils dormaient presque, il faisait nuit noir, seul les phares des camions produisaient de la lumière.

Tony murmura à Sanders:

Tony: Sinon c'est grave ? Ton front ?

Sanders souria, il sentit son front avant de répondre à Tony:

Sanders: Le toubib m'a dit que non, mais que je ne devait plus mettre de casque pendant un moment, moi je ne garderait que la casquette ...

Tony: Pas de chance, vraîment pas de chance ...

Ils eurent un petit rire, sur ses mots Tony ferma les yeux, il finit par s'endormir ...