pense

Fort Brenning, 5Juin 1944, 15h00:

Il y à 2heures, Alex venait d'être nommées Sgt, il n'en voulait même pas de se grade, de plus il avait appris que ce Jour J était pour se soir. A l'heure du repas, très peu de soldats mangeaient, les lus anthousiastent restaient à larrière entrain d'écrire à leurs femmes pret à leur dire que leurs mari partait combattre pour la gloire et l'honneur ! Quel gloire , Quel honneur ? l'honneur d mourrir abbatu par un soldat ? la gloire d'avoir "aider" la patrie à la victoire ? La plupart des lettres envoyé aux familles mentaient ! " votre fils est mort en héros" alors qu'en fait il s'est noyé dans un torent ! " votre fils est mort dans une bataille qui permit de gagner la guerre, alors qu'en faite, il à été abattu par une DCA avant de toucher le sol ...

C'était les dures loi de la guerre, et personne ne pouvait rien y faire... Mourrir avant de toucher le sol ...

Le reste de l'après-midi, la petite course sur la colline, se passa comme d'habitude, Alex était à l'arrière avec Anthony et Walker ses meilleurs amis. Il avait d'ailleur passé la plupart de la journée avec entrain de rigoler des nouveaux qui tirait sur les feuilles au lieux des cibles....

Vers 14h00, alors que Alex partait pour nettoyer son fusil thompson d'entraînement, le Capitaine de section l'appela... Alex se souvenait encore des paroles qui lui avait dites. Sgt, Alex était désormait Sgt, il avait la vie de 10hommes au bout de ses bras, une responsabilité très lourde pour un gars qui à peur de sauter...

Alex avait le vertige, il s'imaginerait bien dans son école de sience, il aurait voulu y passer ses études mais la guèrre l'avait rattraper. Pffff.... Faire des expériences étaient tellement simple pour lui, faire la guerre en était une autre. Certains personnes en étaient fière de cete guerre...

Comment pouvait-on être content d'être ne terrcitoire énneminsen étant presque sûr qu'a chauqe carrefour on pouvait se faire tuer... Alex ne voulait pas tous cela... Pourquoi son père était militaire, en 1914, son père habitait en Belgique, il aimait l'étranger et la Belgique par dessus tout !

Mais la Belgique l'a tuer ... Un matin de 1915, une lettre du commandant belge de la 2ème à envoyer uen lettre à ma mère, pour dire que mon père était mort... Mort dans des tranchées ... Durant cette bataille 42 elges sont morts, le lendemain, la tranchée était libèré par les Français qui venaient porter renfort. Si ils auraient pu venir un jour avant, Papa serait jamais mort !

Mais il ne fallait plus pensé à cela, c'était le passé... Alex ouvrit les yeux, il était assis sur un bac avec ses grades de Sgt dans les mains, il se demandait quand il allait les coudres sur sa tunique ... Peut-être jamais ...

Edition de Allen Walker : Ecrit en italique ce que ton personnage fait.

C'est à ce moment là que la facteur du régiment arriva en hâte. Il avait l'air assez préssé, c'est alors qu'il dit en pressant sa voix d'un air malsaint:

- Ey ! J'ai du courrier pour toi !

- Pour moi ?

Oui ! Pour toi !

Alex prit la lettre calmement avant de voir le facteur disparaître dans d'autre tente pour remettre le courrier. Alex déchira l'envellope pour ne ressortir la lettre en papier munit ud sceau de la 101ème Airborne.

C'était une lettre du colonel, il voulait voir Alex et tout de suite. Alex but son café qui était sur la table avant de se lévé d'un pas las.

Alex partit vers le Q.G. à l'arrière du camps, au bout de 5minutes de marche Alex arriva devant la grosse tente gardé par deux MP.

Alex montra la lettre à l'un deux et entra ensuite.

Dans tente, un drap était levé, c'était sans doute les quartiers du colonel... Alex poussa ses draps et le colonel se découvrit. Alex fit le signe du salut, le colonel le lui rendit.

Alex s'avança alors pour que le colonel puisse lui parler, il se contenta de lui montrer qu'il pouvait s'asseoir c'est ce qu'il fit.
Alex s'asseiya donc et à ce moment là, le colonel parla enfin:

Col. Mayer: Hum ... Merci de m'avoir si vite répondu !

Alex: C'est normal Colonel ...

Col. Mayer: Oui ... Oui enfin bref...

Il fit alors un grand soupir avant de reprendre sa phrase dans un ton plus séroieux, digne d'un colonel .

Col. Mayer: Nous venons de recevoir un message d'Enseihower ...

Il se leva et fit le tout de la pièce, Alex ne bougeait pas mais il savait vraîment de quoi le colonel parlait:

Col. Mayer: Le Jour J est le six !

Alex soupira alors, le jours J était donc le six, le lendemain. Si il étaient parachuté, se serait le 5juin alors, donc aujourd'hui...

Col. Mayer: Vous allez donc être parachuté derrière les lignes énnemies ce soir !

Alex acquièsa d'un signe de tête, il n'avait rien à dire et ne pouvait donc pas protesté sous peine d'être dégradé sur le champs...
Le colonel s'asseya donc pour prendre un petit carnet déposé sur la table d'un un tri-papier.

Il le regarda et dit alors:

Col. Mayer: 56 000 Hommes vont donc partir en France !

56 000, c'était énorme, c'est là qu'Alex comprit qu'il allait partir pour peut-être jamais revenir. Le colonel expliqua alors brefement ce qu'il fallait faire.

Après cela, Alex se leva et fit le signe du Salut avant de partir pour annoncer ce qui allait se passer à ses camarades de chambres.