IV Des Panzergrenadiere ... [ 7 Juin 1944 ]

La France était un pays magnifique. Il rêvait d'y habiter un jour ...
Mais à chaque fois qu'il passait près d'un civil, ont le regardait d'un mauvais oeil. Il n'y avait pas que de mauvaises personnes dans les forces Allemandes.

Il s'était recruté en tant que soldat vonlontaire en Allemagne.
Il servait d'escorte à des chef de Panzer...

Wärnj avait servit fidèlement l'armée d'Hitler.Il avait été envoyer en Pologne et petit à petit, il avait monter en grade, grâce à ses exploits.

Mais lorsque la guerre en Russie survint, sa fidèlitée pour le peuple du Reich était tout autre ...

L'idée d'attaquée l'armée de Staline était complètement absurde. Hitler voyait trop grand, il commençait à devenir idéaliste.
Il les envoyaient au massacre.
Lorsqu'il fut à Moscou, il crut qu'il allait mourrir, mais il se replia avec quelques hommes encore vivant ou blessée.
C'est durant la retraite que la fois de Wärnj dans le IIIe Reich s'était estompée.

Il fut envoyer en France durant l'occupation.
Là-bas tout ce passait bien ... Il devait surveiller un Bunker sur une plage, mais rien ne se passait ... Il était tranquille ...

Mais quand cette masse de bateau et de navire apparue devant ces yeux, il eut le même précentiment qu'en Russie, il allait mourrir ....

Wärnj marchait vers le sud avait quelques hommes.
Ils étaient sept en tout, il y avait d'abord Arts, un simple soldat, volontaire comme Wärnj, puis Kielstrh, Vïenrh, Jaerhg, Obersk et le Sergent Kellisyen.

Ils marchaient vers une destination inconnue, fuyant les parachutistes Américains qui avaient sautée la nuit dernière.
Wärnj tenait son SGT 44 sur son épaule, sa veste était ouverte et il était désenparée...

- Sergent Wärnj !

Wärnj se retourna, il aperçut alors que Jaerhg l'appelait. Il était accroupit en comagnie d'Obersk et de Kielstrh. Il dit à Vienrh de se poster en arrière avec sa MG 44 Leist pour les couvrir.
Il partit en direction du nord et s'accroupit pointant sa mitrailleuse dans la direction de leur retraite.

Wärnj arriva près des hommes et il aperçut alors le corp d'un officier SS. Il tenait un Lügeur juste à côté de lui.
Il y avait un trou circulaire ensanglantée dans sa tête.

- il s'est sucider déduisit Wärnj.
- C'est L'Herr Mayor Bluskart ! Coupa Kielstrh.
- Ouais ... Il assurait la défense de Vierville ... le pauvre ... Dit ensuite Obersk
- Jha, mais il s'est sucider ... Ont devrait en faire autant, que serait un monde sans IIIe Reich ?! C'était Kellisyen qui venait de dire ceci.

Wärnj était repartit et il s'était arrêter en court de route. il se retourna ensuite vers Kellisyen et dit :

- Que serait un monde sans Reich ?! Se serait un monde ou la bête est redevenue homme ! Regardez comment ont réagis ! Hitler nous à endoctrinée ! Regardez ! Il s'est retirer la vie parcequ'il pensait que les Américains allaient tuer Hitler !

La petite troupe de cinq s'était retournée vers Wärnj.

- ont se bat pour qui, Hitler, le Kaporal ou l'Allemagne entière ?

Les Hommes ne disent rien. Kellisyen adressa un regard noir à Wärnj et ils reprirent leur route.

Après ce qu'avait dit Wärnj, Kellisyen ne lui adressa plus la parole...
Kellisyen était le plus fidèle aux SS de l'escouade. Il adorait la politique d'Hitler.

Il ne se rendait pas compte qu'en allant défendre Berlin en 1945, il allait mourrir en éssayant d'empêcher un tank Russe de foncer droit dans la Chancelerie.
Ce fut à ce moment-là qu'il comprit son erreur...

Wärnj s'arrêta et se mit à couvert. Les hommes firent de même ... Il regarda les alentours. Il aurait crut entendre quelque chose...

Soudain, une balle ricocha sur le sol juste à côté de Wärnj, ont était entrain de leur tirer dessus !

Soudain, ont put entendre des mitraillettes en tout genre qui éssayaient de toucher l'escouade qui était à découvert !

- A COUVERT DANS LES ARBRES ! Ordonna Wärnj

Il courrut tête baissée dans la forêt qui se trouvait à droite de lui. Il fut stopper par un tir de mortier qui exploisa à droite de lui.
Il sauta alors dans un buisson.

Il entendit un cris et se retourna. Il se retourna et il aperçut le corp de Obersk sur le sol.
Du sang coulait de sa tête ...

Wärnj s'empêcha d'hurlée et courrut vers la droite où se trouvait le reste de la compagnie à couvert derrière un tas de terre.

Les énemis étaient en face d'eux. Ils étaient plusieurs et de la Big Red One. Ils possédaient un mortier et un Bazooka.
Il tiraient d'un bosquet d'arbres en face.

Lorsqu'il rejoint l'unitée, il entendit Kielstrh lui hurler aux oreilles :

- Sergent ! Obersk à été toucher ! IL EST MORT !

Sa voie se tut lorsqu'une balle toucha l'arbre juste à côté de lui.
Il s'était abaisser à temps pour éviter les fragments.
Wärnj prit sa STG 44, le chargea et se mit à tirer.
Son tir allait dans la direction d'un homme poster vers la droite. Il possédait un Calibre 30, c'était assez dangereux pour la compagnie de Wärnj, il vida un chargeur avant de toucher l'homme dans son cou.
Il s'écroula.

Wärnj s'abaissa et regarda ses hommes. Vienrh tirait sans cesse pour éssayer de toucher quelqu'un avec sa mitrailleuse.
Les autres faisaient de même...

Au bout d'un moment, ont entendit plus rien appart les coups de feu des armes.
Les assaillants étaient bien retranchées, ont ne les voyaient guerre apart quelques casques.

Kellisyen commença à romptre le silence des voies et dit :

- Zut ! J'oubliais ! C'était Obersk qui avait la radio !

Wärnj regarda le corp d'Obersk à quelques mètres d'eux. La radio ne semblait pas être touchée.

- La radio est intacte !

Les coups de feu s'accentuaient. Plusieurs arbres tombaient sous le coups de feu du Mortier Américain.
Wärnj et son escouade était piègée.
Les Américains avaient tenter plusieurs fois d'avancer, mais les tirs de l'escouade de Wärnj les bloquaient à chaque fois.

Wärnj était à couvert près de Kielstrh. Ils croyaient tout les deux que c'était le fin.
Kellisyen s'approcha et dit :

- Quelqu'un doit aller chercher la radio, si ont reste ici ont est mort !

Sa voie se coupa. Une balle le frola et toucha son casque. Le casque fut projeter en arrière et toucha un arbre.
Kellisyen tomba à terre, abarsourdit il ne put rien dire.

- Hanz ! Hanz ! Ca va ? Demanda Wärnj.
- J'ai ... J'ai toujours dit que deux officiers, c'étaient de trop, l'un de nous va crêver ... Dit-il en riant.
- Pourvut que c'est toi ... Ajouta Wärnj avec un pointe de sarcastisme.

Wärnj aida Hanz Kellisyen à se lever et ils se mirent à leur position initiale.
Les coups de feu s'étaient tut et un calme s'installa entre les deux camps.
La nuit commençait à tombée ...

La nuit tomba.
Au loin, plusieurs fusée éclairante s'élevait dans le ciel. Des coups de feu s'en suivait, mais dans le combat qui opposait Wärnj et son équipe, face aux Américain, aucunes fumigènes ne s'était levée dans le ciel pour éclairer et pour montrer où se trouve l'énemit.

Wärnj avait décider de ramper vers le corp d'Obersk pour pouvoir lui prendre sa radio.
Il profiterait de l'obscuritée pour la lui prendre et appeler les renforts.

Wärnj s'était déséquipé et désalourdit pour pouvoir être moins reconaissable. Il avait enfiler sa veste verte-noir pour pouvoir être méconaissable par rapport à l'herbe.

Kellisyen lui souhaita bonne chance en lui donnant une tape amicale.
Wärnj soupira et attendit le dernier coups de feu lointain pour partir.

Il rampa lentement mais surement, s'arrêtant à chaque mouvement suspect.
Il finit par atteindre le corp d'Obersk. Il dut ramper dans son sang sècher pour atteindre la radio.
Pour pouvoir la prendre, il devait se relever et la détacher de la ceinture d'Obersk.

C'est ce qu'il fit à une vitesse vertigineuse et se dépêcha de s'en aller en traînant la radio derrière lui.
Il fut à quelques mètres lorsqu'il entendit :

- Boys ! Look ! FIRE !

Soudain le bruit des mitrailleuses énemies rompit le silence. Le combat venait de recommencer.
Wärnj entendit des cris du côté Allemands et puis la MG42 se remit à tirée.

Wärnj se releva et courrut à toute vitesse. Une balle touchit son pied et il hurta violement le sol.
Wärnj hurla de douleur et rampa en espérant arriver à son but.

Wärnj fut soliciter par ses camarades qui se trouvaient en face de lui.
Kielstrh hésitait mais finit par foncer et attrapa Wärnj par le bras.
Il le souleva et le traîna jusqu'à leur position.
Le feu cessa aussitôt.

Wärnj hurla de douleur et enleva ses bottes.
Une balle avait transpercée et entait à demie enfoncée dans son pied.
Il eut du mal à la retirée et hurla de douleur une nouvelle fois.

Kielstrh regarda Hanz et ils regardèrent ensuite son pied.
Jaerhg accourut alors près d'eux et enleva la radio du dos de Wärnj.
Il la déposa à terre et examina le pied de Wärnj.
Jaerhg était assez doué en médecine.

- Ca devrait allez, Bitte, mais il faudrait couvrir ça et le refroidir !

Jeargh sortit de sa poche de secour un bandage qu'il enroula préconisement autour du pied de Wärnj.
Celui-ci le remerçia et Jeargh partit près de Vïenrh.
Arts arriva ensuite.

Il s'approcha et dit :

- Bon dieu ... Ca va sergent ?

Wärnj aquiesça et regarda la radio.
Il la prit et la donna à Kellisyen.

- A-apelle le QG et demande les Panzer en renforts ...AAAARG... Qu'est-ce que tu fous Arts ?!

Il avait placer sa gourde sur le pied de Wärnj.

- Ma gourde est froide, enfin le métal qui la recouvre ...
- AIË ! Et c'est censer faire du bien ?
- Normalement oui ...

Wärnj regarda alors en direction de Kellisyen et aperçut le Sergent qui éssayait de changer le canal de la radio.
Wärnj rampa difficilement vers lui.
Hanz mit les écouteurs sur son oreille et commença à tourné une petite roulette.

Il n'y eut plus aucun bruit et Hanz marmonna :

- QG ? Ici IV Panzergrenadiere, nous sommes face à l'énemit, demandons des renfors de blindés ! Allo !

Hanz Kellisyen répèta la même chose plusieurs fois lorsqu'il sursauta. L'esouade se retourna vers lui.

- Jha ! JHA ! Renforts Panzer au 5°26° NO ! Jha ! Danku !

Hanz retira les écouteurs et dit :

- Les panzer ! Ils arrivent !

La nuit fut longue...
Il y eut quelques escarmouche sans importances.
Les pertes étaient plus nombreuses du côté américain.
Arts avait pleurer toute la nuit en espérant revoir sa femme et ses enfants.

Dans l'unitée, Wärnj était le seul à n'avoir ni de femme ni d'enfant.
Il ne le regrettait pas car il ne pleurait pas nuit et jour en espérant revoir ceux-ci.

Tout ce qu'il voulait s'était revoir sa mère ...

Wärnj consulta sa montre il était 6h15.Vïenrh avait veiller toute la nuit, mais rien ne s'était passer. Wärnj n'avait pas dormit comme la plupart des hommes.

Kellisyen et Kielstrh avaient chanter pour se redonnez de l'espoir.
Le pied de Wärnj le faisait souffrir, mais ceci ne l'empêchait pas de marcher.

Wärnj mangea son peu de ration sans faim et finit par donner le reste à Vienrh.
Les choucrouttes alsaciennes le manquaient ...

Soudain, une explosion fit trembler le sol. les Américains reprennaient l'assaut.
Les mitraillettes et les fusils se firent entendre et les soldats Allemands se couchèrent, ne pouvant plus bouger à cause de l'intensitée des coups de feu.

Seul Vienrh tirait avec sa MG42.
Wärnj rampa vers son fusil, l'attrappa et se releva.
Il constata avec horreur que les Américains faisaient un assaut.
Plusieurs troupes sortirent du bois en face de Wärnj et fonçaient vers leur position.

Couvert par le mortier, les Américains progressaient.

- TIREZ ! TIREZ ! HANZ ! SUR TA DROITE ! Hurla Wärnj.

Hanz Kellisyen se retourna. Un Américain se trouvait à quelques mètres de lui. Il venait de franchir le buisson qui les séparaient lorsque Wärnj avait hurler.
Hanz attrapa son MP40 et tua l'Américain qui s'écroula sur le sol.
Hanz se retourna, s'acroupit et tira sur les Américains à porter.

Peu à peu les Américains jonchaient sur le sol.
Wärnj rechargea, lorsqu'il entendit un hurlement de douleur.

- MON DOIGT !

Wärnj se retourna et aperçut Kielstrh. Il avait été toucher à un doigt.
Son doigt pendait et finit par tomber à terre.
Jaerhg fonça vers Kielstrh, en abattant quelques Américains en progressant.

Pendant que Jaerhg éssayait de guérrir Kielstrh, les Américains se replièrent à leur position initiale.

"La Blessure de Kielstrh n'était pas très grave.
Jaerg avait embaumé le doigt manquant et l'avait placée dans sa gourde remplie de glaçon.

Hanz arriva alors près de Wärnj qui était entrain de contempler le ciel.
Hanz s'asseilla sur la racine à côté de Wärnj qui se retourna un peu après.
Hanz ne dit rien puis il ouvrit la bouche et dit :

- Encore un assaut comme cela et ont est foutus ... Mais quand arriverons ces Panzer ?!

Wärnj émit riat avec une pointe de sarcasme.

- 'Faudrait déjà que le Fuhrer arrête d'idéaliser en disant que la guerre est gagner. Il réserve ces Panzers pour quoi ?! Il ne les as pas envoyer en renforts aux plages et voilà ce qui est arriver !

Kellisyen semblait bouiller de rage après les paroles de Wärnj, mais celui-ci avait raison. Il se passait la même chose que le gouvernement français avait fait lorsque la Blizkrieg est survenue.

- Comment peux-tu parlé du Führer de cette façon ? Regarde ce qu'il à fait au peuple Allemand !

Wärnj regarda les alentours. Au loin ont distinguait des fumée qui provenait sûrement de St-Mère L'Eglise.
Wärnj dit ensuite en réponse à Kellisyen :

- Regarde ce qu'il ce passe maintenant ... Regarde ce qu'est devenue la France ! Le Führer voulait agrandir son Empire ! SON EMPIRE ! Ce n'est pas le sien mais celui du peuple lui-même ! Il est entrain de tous nous détruire !

Des larmes coulèrent le long des joues de Wärnj.

- Nous ne sommes plus des hommes ! Hanz, nous sommes des bêtes ! Regarde ce qu'il ce passe maintenant ! Regarde ce qui est arriver à Obersk ! IL EST MORT ! Tous ça à cause de cet imbécile !

L'escouade s'était retournée en direction de Wärnj.
Ils semblaient abasourdit.
Kellisyen baissa la tête et dit à Wärnj :

- Ont devrait te pendre ...

Les larmes continuèrent de couler le long des joues de Wärnj.
Wärnj se retourna et regarda la haie d'en face.

- Eh bien ... Fait-le si le coeur t'en dit.

Wärnj donna son arme à Kellisyen qui commença à trembler en la prennant le STG 44.
Durant un moment il resta immobile et soudain, il pointa l'arme de Wärnj dans la direction de Wärnj.
Wärnj ne bougeait pas.

Kellisyen ne fit rien mais il continuait de pointée son arme sur Wärnj.

- Tu mérite de mourrir, Wärnj.

Soudain, Wärnj fonça sur Hanz Kellisyen et une bagarre commença.

- Qu'EST-CE QUE TU ATTENDS ! TUE-MOI ! TUE-MOI J'AI TRAÎTER LE FÜHRER D'IMBECILE !

Les hommes se précipitèrent sur les deux personnes proient à un combat.
Ils réussirent finalement à les séparer.

- Sergent ! Sergent Kellisyen ! Ne faîtes pas ça ! Ont parlera de cela plus tard !

La Fureur se lisait dans le regard de Kellisyen et Wärnj pleurait silencieusement et il se dit :

" Il voulait vraiment me tuer ..."

L'idée que Kellisyen allait vraiment tuer Wärnj restait dans la pensée de celui-ci.

Il n'en revenait pas ... Wärnj avait éviter le regard de Kellisyen le reste du temps.
Il y eut comme d'habitude quelques escarmouches sans grandes envergures.

Wärnj était retourner à son poste, quand Kielstrh arriva vers lui.
Il se plaça à côté du jeune sergent et il dit :

- Ne fais plus ça, Wärnj, il va te tuer.

Wärnj ne regarda pas Kielstrh mais il dit quand même :

- Ou se sera peut-être toi ...

Wärnj se retourna et regarda Kielstrh qui ne dit rien. Ont pouvait lire un angoissement à travert ses yeux, ce qui donna des frissons à Wärnj.

Kielstrh finit par partir quelques secondes après en direction de Jaerg.
Soudain, un tissu blanc fut dans la vision de Wärnj.

Un soldat Américain avançait avec ce drapeau.
Il marchait lentement dans la direction de Wärnj et de son escouade.

L'Américain s'approcha de plus en plus.
Wärnj se leva et le visa en hurla :

- HALTE ! Whas is das ?

L'Américain stoppa net et agita le drapeau blanc.

- My Officier demande votre redition. You're encercler !

L'Américain éssayait de parler Allemands le mieux possible.
Wärnj regarda Kellisyen et le reste du groupe.

La redition semblait tentante. Wärnj s'apprèta à répondre oui lorsque Kellisyen intervena :

- NIEN ! Nous ne nous rendrons pas ! Partez !

La réponse des Américains fue sans précédent.
Ils bombardèrent l'équipe de Wärnj.

Les Arbres tombaient peu à peu, laissant des troncs pour couvrir les Allemands.

Soudain, un blindé Américain sortit des fourées.
C'était un Sherman V.

Wärnj eut du mal à le croire. Ils étaient face à un Tank Alliés et ils n'avaient pas de matériel lourd pour le repousser !

Wärnj eut une vision d'horreur en voyant un deuxième Tank sortir des fourrée, accompagner par des hommes.

Wärnj se releva et se mit à tirer sur les hommes. L'escouade fit de même.
Les Coups de feu Américains répondirent à l'escouade Allemandes.

Les Tanks avançaient lentements, derrière les cuirasses se trouvaient des Hommes qui s'était placer derrière pour être couvert.

Les Américains tiraient...Soudain, il y eut une explosion ... Elle toucha Wärnj de plein fouet ...

Wärnj ouvrit les yeux. Le décor lui parut assez flou. Il se demandait où il était ... Autour de lui, des silouettes s'agitaient ... Que se passait-il ?
Soudain, il eut l'impression qu'ont venait de lui donner un coups de marteau ... C'était assez douleureux ... Sa tête lui faisait vraiment mal !

Soudain, ses oreilles lui firent moins mal et le son revenut. Il voyait toujours des silouettes assez flous, mais quelqu'un l'appelait.

- Sergent, Wärnj ?

Il reconnut la voie Keilstrh. Soudain, la mémoire lui revenut ainsi que la vue ... Ce tank ... Cette explosion ...
Wärnj regarda autour de lui. Il y avait des corps Alliés et Allemands tout le long de la plaine.
Wärnj, lui, se trouvait sur un brancard près d'une camionette Médicale.
Le renfort était venut à temps ...

- Wärnj, ça va ?

Wärnj regarda face à lui. Kielstrh ne semblait pas fort inquièt. Il avait une blèssure non loin du nez.
Wärnj se redressa tant bien que mal. Une douleur atroce lui faisait souffrir le dos ...

Il parvint à ce mettre debout. Il y avait des carcasses de blindés et du feu un peu partout. Il y avait eu une grande bataille.

- Ca ... Ca y est, le renfort ... Il est arrivé ...

Kielstrh aida Wärnj à se redresser. Il était encore étourdit mais sa allait mieux.
Wärnj mit pied à terre et s'étira douloureusement. Il aperçut Hanz Kellisyen qui parlait avec un officier.

Wärnj regarda à droite. Viernh, Arts et Jeargh étaient ensembles. Lorsqu'ils aperçurent Wärnj, ils lui firent signe. Wärnj décocha un sourire.

- Peters, ca va ?

Kielstrh ne répondit mais décocha lui aussi un sourire avant de repartir.
Wärnj se dirrigea vers Kellisyen en espérant qu'il ait oublier cette histoire d'insulte à l'égard du Führer. Il espèrait que Kellisyen n'en avait pas parler à l'officier avec qui il discutait ...

Après tout, kellisyen et lui se conaissaient depuis quelques années ...
L'officier se retourna et ont put reconnaître son grade. C'était un Lieutenant.
Il avança vers Wärnj. Son estomac fit un bond.

- Sergent Wärnj Von Stradlf, heureux de voir que vous vous êtes rétablit.

Kellisyen baissa la tête et ne regarda pas une seule fois Wärnj.

- C'est le Sergent Kellisyen qui vous à trouver ...

Kellisyen adressa un coups d'oeil rapide. Ont pouvait lire l'ironnie, la tristesse et la deception dans son regard.

- Bien ... Je vois que vous êtes assez abîmer. Le Sergent Kellisyen m'a conseiller de vous envoyez en Permission maladie à Berlin. Je pense que 3 Semaines seras satisfaisant pour vous remettre. Sur ce, je vais contacter le QG. Sergent. Herr Hitler !

Le Jeune Lieutenant venait de faire le salut Hitlerien. Wärnj fit de même sans grande conviction. Kellisyen fit de même.
Le Lieutenant se dirrigea vers son véhicule.
Wärnj regarda Kellisyen avant de se dirriger vers un Half-Track.