Arriver en russie (ouver a ceu qui veulle participer)

Vernner arriva dans son Me-262 et atterrie en premier sur la piste d'atterrissage. Il avais fait tout le chemin Metz a Stalingrad en avion. Même si il avais un avion a réaction, le voyage avais néanmoins été assez long de plusieurs heure. Il fut suivit par le reste de son escadrille. Après avoir rentrer son avion dans le hangar réserver au membre du Nemesis, il se dirigea verre ce qui servais de QG. Il n'étais pas directement dans Stalingrad mais sa restais néanmoins des plus désagréable vue les condition extrême de froid dans le quelle il étais.

A l'intérieur du QG, il alla au bureau du général pour faire son rapport. Il entra dans le bureau tendit que le reste de son équipe se dirigea verre la cantine.

Vernner: Général.

Le général: Ah, voici donc notre attacher du Nemesis. Ravie de vous voir caporal. Je vais être directe, vous n'avez pas d'ordre a recevoir de moi comme vous le savez. Mais je doit néanmoins m'assurer que vous faite vos heure de vol. Votre job est simple, foutre le plus de bordel chez les russe que possible.

Vernner: Bien, je voudrais néanmoins une carte du terrain et les rapport de mouvement de troupe mon général.

Le général: Bien sure, sa sera dans votre dortoir... En passent, j’espère que sa vous dérange pas mais vous aller devoir le partager avec les membre de votre équipe et un soldat de la régulière, un des nouveau arriver d'Allemagne je suppose...

Il n'aimais pas vraiment l'idée mais il n'avais pas vraiment le choit.

Vernner: Mouais... Je vais devoir faire avec.

Il se leva et fit son salut. Le général le lui rendu et il sortie et se dirigea dans la direction de la cantine ou il rejoigne a son équipe après avoir prie un peu de la gibelotte brune de la cantine.

Zolf: Ah... Alors, t'est impressions?

Vernner: Bin... Je sais pas trop. Au moins on a pas vraiment de pressions sur nous, je suis même pas sure que nos nom son dans les registre de la basse. Je peu aussi affirmer que les menace que les supérieur font a leur soldat de les envoyer ici son justifier...

Il regarda son repas d'un œil mauvais

Vernner: On peu me dire c'est quoi sa?

Yzak: Je sais pas, j'hésite entre de la merde ou encore du vomie de chat...

Emil: Même si la ressemblance est frappante, se n'ais pas sa. C'est juste du cheval passer a la moulinette, j'ai demander au cuistot.

Vernner: ...

Milano: Apparemment, il on dut se débrouiller avec sa car les vivre on encore une fois été prie dans une tempête.

Vernner repoussa son assiette avec dédain.

Vernner: Très peu pour moi...

Il continu aire a parler des condition de vie et de la qualités de la nourriture pendant un moment...

(HRP :désormais ,je ferai mon RO à la première personne maintenant que mon personnage écrit ses journées dans un carnet qu'il garde auprès de lui .Je vais en redire ce que Kiel a écrit )

15H ,Stalingrad ,Russie (état contrôlé par les soviétiques)*

Le voyage en train fut long et désagréable depuis Berlin .L'odeur de crasse et de gaz n'ajoutait rien au confort non-present .Et puis il n' y avait aucune source de lumière ,mais des fenêtre sans vitre toutes petites ,de ci de là dans le wagon ,Je me retint de vomir durant le trajet ,mais le froid m'en empêchait et cette atmosphère putride me rappela soudain des paroles de l'officier Verskau :

"J'espère que tu n'as pas peur d'être étiquette comme du bétail qu'on envoie à l'abattoir parce que c'est le cas ."

Quelle malchance j'ai d'être tomber ici .Moi qui croyais être tombé sur l'enfer à Berlin ,et maintenant ,Je trouve l'enfer de l'enfer .Quand je pense à ma faculté .Faut croire que l'armée nous considère vraiment comme rien ...

Puis je m'arrêta violemment de réfléchir ,car le train s'arrêta net .Tout les soldats dont moi furent projeté contre les murs avants du wagon ,puis ,à peine le temps de reprendre nos esprits et de se dépêtrer de ce tas humain ,Une grand porte s'ouvrit sur le flanc du wagon et un vent froid nous glaça .L'homme dit avec un ton et un sourire chaleureux (On en avait bien besoin de chaleur ) :

Guten morgen ,Bienvenue en Russie ,nous allons vous conduire à vos quartiers ,mais vous allez récupérer votre matériel dans la soute d'abord .Et on est à l'armée ici ,pas à l'hôtel !

Nous nous exécutions .Stalingrad était entièrement sous la neige et à peine expirés l'air formait un nuage presque opaque. Je n'ai pas souvent vu de neige ,celle-ci était rare à Aachen ,mais il fallait résister à l'envie de sauter dedans et de s'amuser .Je me dirigea vers la soute et n'eut aucun mal à reprendre mes affaires ,je les avait mis en dernier et elles étaient toutes devant par conséquent .Puis une fois mis en rang devant l'officier celui-ci repris :

Bien ,Nous vous laissons libre choix pour les chambres ,elles sont identiques quoique peu confortable ,et vous devez revenir ici lorsque vous aurez choisi votre chambre ,c'est à dire dans 5 min ,et maintenant rompez !!!

On s'exécuta et s'engouffra dans le bâtiment indiqué ,qui avait l'air ,comme qui dirait, en ruine .Il devait sûrement s'être pris deux ou trois grenades mal tombées sur les fondation du fait qu'une bonne partie du bâtiment s'était effondrée et le toit dan son intégralités .apparemment ce n'était pas des histoires ,la Wehrmacht s'était bien battue sauvagement ici avec les soviétiques .

Une fois à l'intérieur ,moi et mes camarades remarquons les couloirs délabrés et les innombrables toiles d'araignées .J'ouvris la porte d'une chambre doucement de peur de trouver une ruine impossible .Et bien non ,les chambres était bien tenues .Sûrement pour minimiser le produit à nettoyer ,apperemment ils avaient plutôt démunis ici .Les chambres étaient propre ,mais minimaliste ,2M carré tout au plus avec un lit pliant ,et c'est tout .les clés était posée sur le lit .Je les pris et je sortit de la pièce pour refermer cette porte à clé .Puis je redescendit comme ordonné .

J'était dans les premiers descendus ,sans doute quelque rixes entre soldats pour une chambre. peu importe ,j'attendis quelque minutes et mes soixante coéquipiers était tous réunis .L'officier réajusta sa casquette pendant que nous nous redressions pour saluer :

Heil !!!

l'officier eut un grand sourire et dit ,avec un air approbateur :

Bien ,vous avez l'air heureux de partir aux combats comme des braves .Le Reich vous récompensera pour cette fidélité ,mais comme dit le dicton :un soldat ne se bat pas le ventre vide !!!A la cantine messieurs .Rompez !!!

Nous nous exécutâmes et partir manger en espérant qu'un bon repas chaud nous attendait .Grave erreur ,nous arrivons dans le réfectoire pour nous asseoir et j'en profite pour jeter un oeil au plat du jour .En un mot : très peu ragoûtant ...
Mais nous allons tout de même prendre notre plat .le voyage avait été épuisant ,et nous devions nous restaurés .Je m'assied à la table des caporaux .

Il parla de son équipe pendant environ une heure des condition de vie et il remarqua que de nouveau venu étais arriver dans le réfectoire. A en Juger leur uniforme tout neuf, il devais être la nouvelle fourner vannant d'arriver d'Allemagne. Il soupira en voyant tout ce petit monde don il doutais franchement que la moitié d'entre eu fasse le mois.

Vernner: Je vous lesse, je vais aller voir dans le dortoir voir les info qu'a pu me donner le général.

Il se fit saluer et se dirigea verre le dortoir. Il y avais sur le petit bureau de la chambre un porte document avec quelque feuille a l'intérieur. Il regarda attentivement les plan de la ville inci que les rapport des troupe a l'intérieur. La ligne de front étais un peu plus loin dans le territoire russe de l'autre coté de la rivière geler. Les allemand étais au désavantage car il n'avais pas le soutien de tank. La belle mécanique allemande avais tendance a avoir des rater dans les condition extrême de l'hiver russe, les machine russe bien que inférieur a celle allemande marchais par compte sur un seul principe: Il faut que sa marche. Ce qui fait que dans ces condition, même si elle son des tas de ferraille, il donne l'avantage au russe.

Peu après cela, il rassembla son équipe au hangar.

Vernner: Voila, nous allons faire une sortie pour repérer le terrain et détruire quelque char, des question?

Il avais prie cette habitude d’être bref, il n’eu aucune question et les pilote décollèrent pour ce retrouver rapidement en vu de Stalingrad. Ce n’étais pas jolie jolie… Les maison détruite, des escarmouche un peu partout, des cadavre… Une ambiance qui fessait peur.

Vernner : Dispersons-nous, on pourra couvrir plus de terrain.

Les autre acceptaient et se dispensaire chaque un de leu coter. Vernner volais a basse altitude pour mieux voir les ennemie qui tentais de se cacher. On aurais dit l’ange de la mort planant a la recherche de c’est victime…

Stalingrad ,12 avril 1944 : 15H30 ,Russie (état contrôlé par les soviétiques)

le réfectoire agréable et convivial .Rien de tout ce qu'il avait vu jusque là ne lui avait tant plu .Cet endroit sentait la bonne humeur ,mais aussi le plat bâclé .Mais ce n'allait pas être ce petit désagrément qu'est la nourriture qui allait me gêner ,et j' avait trop faim pour discuter .La première bouchée prise ,un haut-le-coeur insoutenable me saisis .Quelle horreur ,je retira tout ce que j'ai dit ,la nourriture était infecte au point de massacrer la bonne humeur qui régnait .Sans doute les gens au sourire n'avait encore pas toucher leur plat .Enfin ,bref ,je finis mon assiette sans faire d'histoire ,peu importe le goût .Puis l'officier revint et dit avec enthousiasme :

Bien ,maintenant que nous nous sommes reposés et remplis la panse ,il est temps de travailler comme d'honnête soldats avant le combat ,Nous allons nous entraînés ,vous allez chercher votre armement dans votre chambre ,nous vous fournirons les munitions .
Bien ,rompez !!!

Nous nous exécutâmes et laissons nos plats miséreux sur les tables pour retourner dans le bâtiment réservé aux soldats .La clé dans ma poche ,je longeait les longs couloirs avec excitation et peur .Nous allions enfin être pris au sérieux .Mais cela veut dire que je dois fournir des efforts considérable .Peu importe ,la hâte n'est pas un des meilleurs sentiment .Puis j'ouvrit ma porte d'un tour de clé ,prit mon beau gewehr flambant neuf auquel je soufflais sans grands espoir que celui-ci me réponde :

C'est bon ,toi et moi on va faire nos preuves ,on va s'entraîner et qui sait peut-être se démarquer et plus tard ,décrocher un grade .On forme une équipe désormais .

Je sais ,je suis bizarre ,mais il y'a d'autre raisons ,comme le fait que je rédige ma vie militaire ,mais bref .Je descendit après avoir refermé soigneusement la porte .Je me retrouvai comme la dernière fois en bas avec quelque collègues ,puis nous saluions l'officier .Celui-ci rend notre salut chaleureusement et nous emmène dans un grand bâtiment un peu à l'écart de la ville .

Nous entrons dans le bâtiment ,tout aussi délabré que le précédent ,mais celui-ci contenait plusieurs cours et quelque halls .Mais il était très bien tenu .L'officier nous fit signe de nous arrêter ,puis il partit et un autre officier ,plus grand et plus massif ,vint nous interpeller pour nous expliquer la raison de notre venue dans ce bâtiment écarté de la ville :

Bienvenue aux nouvelles recrues .Ici ,nous vous apprendront l'art du combat .Vous y suivrez des entraînement de tirs ,de mise à couvert ,et d'autres choses qui se révéleront utile contre l'ennemi communiste et autres si vous êtes mutés autre part .
Nous allons commencer par de tir ,puis ,du parcours ,et nous terminerons par un cours spécial concernant votre métier .Si vous voulez bien me suivre .

Puis l'homme nous emmena dans une cour assez grande ou se tenait des épouvantail en sable et en toile qui servait de cible .Ils bougeaient en crabe grâce à un câble qui les animaient .On nous installa chacun à 3M environ l'un de l'autre ,et ils nous ordonnèrent de viser ,puis de tirer .Au bout des trente balles que contenait mon chargeur ,un homme vint près de moi et m'expliqua comment recharger .C'était facile ,mais bien moins que de toucher la cible ,celle-ci bougeait vite ,et j'était à une trentaine de mètre .
Mais ,je me débrouillait plutôt bien et je touchai sûrement la moitié de mes cibles .On continua ainsi durant 3H .Puis l'officier vint nous voir et cria :

OK ,ENTRAINEMENT SUIVANT MAINTENANT !!!

Nous revenions auprès de l'homme ,pendant que des personnes inspectait nos cibles .Celle-ci repartirent sûrement pour faire le rapport de nos scores .L'officier nous ordonna de la suivre dans la cour suivante .Il s'y trouvait un parcours d'au moins 500 mètre .Il y'a avait des rondins à sauter ,des cavités où il fallait ramper ,des murs à escalader ,des lignes droite pour courir ,des gouffres pour sauter ,et tout ce qui compose un terrain d'entraînement qui se respecte .L'officier lâcha alors avec une fermeté implacable :

Voila ,vous allez faire ce circuit durant 3H ,Et vous allez comptez le nombre de vos tours ,Si vous vous arrêtez ,vous pouvez dire adieu à votre vie ,des tireurs sont disposez pour protéger le bâtiment ,et ils sont expressément invités à le défendre aussi des flemmards .AU TRAVAIL !!!

L'officier hurlai presque ces paroles ,si fort ,que l'on ne se fit pas prier pour commencer .Le circuit était épuisant et au bout d'une heure déjà on était à bout de souffle .Mais rien n'y faisaient ,on croyait vraiment les tireurs allait fusiller le premier arrêté .Donc ,on continua jusqu'au bout ,moi et mes compagnons .A la fin ,nous étions épuisés ,et l'officier nous interpellas ,et lentement pour reprendre nous venions vers lui .Quel allait etre notre nouvel entraînement ?L'officier lâcha l'information mais avec un ton radouci :

Bien chaque métier recevra un entraînement différent ,je vais vous indiquez les salles et vous vous y rendrez après avoir indiquez votre nombre de tour à Monsieur Lufreim .

J'obéis et annonça fièrement le nombre 12 .Mais ,je déchanta bien vite devant le reste de mes camarades qui avaient fait pour la plupart 15 ou 16 tours .Puis ,je revins vers l'officier qui indiqua les salles avec un ton calme qu'on ne lui connaissait pas .Il indiqua pour les médecins d'infanterie la salle 13 .Je m'y rendis après avoir consulté soigneusement le plan du bâtiment et en suivant les habitués .Et je me retrouvait bien vite devant la porte de la fameuse salle .

J'ouvris la porte avec soin et un grand homme en blouse continua pour moi .Il salua chacun chaleureusement étant donné que nous étions que cinq. Au moins ,lui ce n'est pas un despote pensais-je .Puis il nous salua et nous expliqua pendant que nous nous installions dans la pièce :

Bienvenue au centre d'entraînement de Stalingrad Messieurs .Vous avez étés engagés comme médecins d'infanterie , et vous serez sollicités ,pour traverser le front de bataille ,pour soigner les pauvres bougres ,coincés dans leur trou d'obus ,une balle incrustée dans la jambe ou le bras .Vous apprendrez donc comment réagir vite et bien face à mille et une situations .Le Reich vous récompensera grandement pour cette tache difficile .Donc commençons.

Puis les deux heures qui suivirent furent les plus utiles qui soit ,et l'on appris énormément de choses sur la manière de soigner spontanément les blessés et leurs permettre de reprendre le combat quasiment instantanément .Puis l'on apprit aussi que nous devrions nous battre également en attendant le premier blessé ,et que notre tache sera d'aller à lui sous le feu ennemi et non de glander dans un bâtiment en recul .

Le cours finit ,et on nous conduisit au hall d'entrée sous la lumière blanche et pâle des plafonniers .Arrivé dans le Hall ,l'officier qui nous avait emmenés ici était là ,toujours aussi droit ,et nous fit signe de nous redresser .Il nous remit alors en main propre un dossier contenant une feuille ,félicitant certains ,réprimandant d'autres ,puis vint mon tour .Il me remis le dossier ou il était inscrit en rouge :SUIVI D'ENTRAINEMENT .Je n'ai eu droit à aucune attention de sa part ,j'ouvris l'objet pour jeter un oeil à la feuille .Il y'avait mes résultats aux entraînement de la journée .Je survolais la feuille ,pour tomber sur les appréciations .Il y'était écrit :Bon soldat .Encourageant ,j'esquissa un sourire satisfait ,et je fut tiré de ma rêverie par l'officier qui toussotait devant moi ,droit comme i .Je referma mon dossier à tout vitesse ,mit les mains derrière mon dos et me redressa très vite .Je demanda alors :

Oui mon officier ,qu'y'a t'il ?

Il me répondit l'air pensif :

Vous devrez changez de chambre ce soir .vous partagerez celle du pilote Vernner et de son escouade pour des raisons de place .Un des dortoirs s'est effondré en centre ville et chaque Dortoir devra prendre un homme ,et comme vous avez sûrement fais connaissance avec Vernner durant le déjeuner ,nous avons pris la liberté de vous changez de chambre .bonne soirée .

Puis il revint devant les hommes alignés ,et dit :

Désormais ,il est tard ,vous devriez rentrez à vos dortoirs ,puis au réfectoire pour prendre le dîner ,il me semble qu'il y'a des oeufs crus .

Puis il repartit et les autre firent de même .Moi ,je partit vers le dortoir pour déplacer mes affaires ,tout en pensant que je devrais essayer de faire connaissance avec ce Vernner et sa troupe ,pour éviter les mauvaises ententes ce soir .Puis je rentra dans le dortoir pour déplacer ces affaire ,a vrai dire ,je n'avait besoin que d'un seul voyage ,vus le peu de chose qu'il y'avait .Je chercha la chambre ,et la trouva .C'était une belle chambre d'officier ,bien garnie en meubles et comportant quelques décoration .Je déposa ses affaires sur le lit vide sans essayer de prêter attention aux autre objets .Puis je partit vers le réfectoire ,sans oublier bien sûr de déposer la clé de mon ancienne chambre .

Arrivé dans le réfectoire .Je prit mon plat avec un dédain dé mesurable ,et chercha la table de Vernner et ses officiers .

La chasse avais été mauvaise pour Vernner. La ville étais grande et regorgeais de cachette, ce qui fait qu'il n'avais peu abattre que un petit groupe de soldat isoler qui avais eu la mauvaise idée de traverser une rue. Pour Yzak, il avais eu de la chance, Il étais tomber sur une colonne de nouvelle recrue russe qui marchais comme de con dans la rue... Une hécatombe, il étais arriver a grande vitesse et avais fait feu quelque centaine de bal et 2, 3 rocket. Milano lui a eu la moyenne de 6 soldat et 1 tank... Zolf 10 soldat et Emil 7 et un nie de mitrailleuse qui tenais notre infanterie a distance, la moyenne pour une sortie de 3 heure quoi...

Il étais rentrer et retourner a la cantine excepter Zolf qui avais un petit quelque chose a faire. Vernner avais réussie a avaler un peu de la bouillasse verdâtre a basse de chou d'aujourd'hui. Il étais en train de manger lorsqu'il remarqu'a du coin de l’œil un soldat qui semblait chercher quelque chose.

Soudain Zolf arriva a l'entrer de la cantine a coter du soldat avec un caisse dans les bras. Il salua le soldat et se dirigea verre la table avec sa caisse. Arriver a la table, Milano regarda dans la caisse et un large sourire apparue sur c'est lèvre.

Milano: Oh le petit trafiquant, c'est bien ce que je pence?

Zolf: Shut...

Zolf sortie 5 flasque des nombreuses que contenais la caisse. Ils avaient l'aire bien ordinaire mais tout ceux qui étais assez prés pouvais facilement sentire l'odeur de la vodka russe de qualité a très haute teneur en alcool.

Vernner: Un jour un officier qui n'aime pas l'alcool va te prendre et tu va te faire jeter au trou...

Zolf: Ouais, c'est juste que le général aussi étais avec la petite expédition que nous avons mener chez les trafiquant.

Emil soupira... Il détestais l'habitude que Zolf avais de faire du trafique de drogue et d'alcool avec les contrebandier. Mais il ne pouvais nier en prenant une gorger de la vodka qui lui auta le goût des chou de la bouche et en se remémorent command il avais été soulager d'avoir de la cocaïne avec lui pour soulager la douleur lors de son dernier crash que il ne le dénoncerais pas. Milano tant qu'a lui il bu a grosse gorger dans sa flasque et en redemanda.

Zolf: attention, sa c'est pas de la petite bière...

Vernner: surtout que je ne peu pas te couvrir si jamais tu te fait prendre en état d'ivresse...

Milano: Bon dieu, si on ne peu plus boire de la bière... ou le monde va t'il?

On connaissait tousse le faible de Milano pour la bière, il aurais surmant peu avoir le grade de sergent si se n'étais pas de sa faiblesse pour l'alcool et la baston.

Stalingrad ,12 avril 1944 : 21H ,Russie (état contrôlé par les soviétiques)

Je cherchai Vernner avec la plus grand attention ,mais rien n'y fit ,je ne le trouvait pas .Peut-être était il autre part ,et puis ils auraient pu me donner des photos .Tout ce que je sais ,c'est que vu le nombre de lit ,ils étaient cinq .Bon ,je vais aller m'asseoir parce qu'être debout n'est pas une bonne chose pour le moment .Je vais aller demander à quelqu'un ,ils sauront sûrement me renseigner .Je demandait à un homme assez trapu :

Bonjour ,je cherche la table de monsieur Krump Vernner .Où puis-je le trouver ?

L'homme grogna et repondit dans sa barbe de plusieurs mois :
là bas troisième table au fond .

Merci

Dis-je ,mais au moment où je m'apprêtais à partir dans la direction indiquée ,L'homme m'empoigna le bras et me ramena vers lui ,si près que je sentait son haleine ... putride .
Il me dit sans aucune compassion et avec une désagréablement inouïe :

Mais tu sais p'tit gars ,ici les renseignement sont pas gratuits .Tu vois ,les être délicats comme moi ,ils supportent que la bonne bouffe ,alors tu vas me faire le plaisir de vider mon assiette ,histoire de me faire bien voir du cuistot .Compris Minus !

Puis il cracha violemment un énorme molard dans son assiette avant d'en verser le contenu dans la mienne .Répugnant .Puis ,je m'éloignai vers la table de Krump en espérant que le cuisinier ne fasse aucune remarque sur mon plat que je ne mangerai en aucun cas .

Les homme avaient l'air de bonne humeur .Je ne partageai pas cette humeur ,mais la raison devait sûrement venir de la caisse de Vodka près d'eux .Jusque là ils avaient l'air sympathique .Je ne remettais pas en cause ma capacité à me fondre dans les groupes ,mais l'armée ,ce n'est pas pareil qu'en fac de médecine .

J'approcha donc prudemment ,et demanda poliment au mieux tenu d'entre eux qui avaient l'air d'être le meneur de la bande :

Bonjour ,puis-je m'asseoir ici ?

(HRP) j'ai changé les couleurs de dialogues pour mon personnage ,pour éviter les confusions )

Vernner et les autre vire un soldat arriver avec une grosse portion de nourriture arriver verre la table et demander si il pouvais s'asseoir. De toute évidence il étais avec les nouveau fraîchement arriver d'allemagne.

Vernner: Bien sur, je vous an-prie.

Vernner se demandais si il savais ce que l'uniforme noir que lui et son équipe portais voulais dire. Il remarqua soudainement que le jeune homme portais une croix rouge sur sa manche. Milano qui étais entrain de faire un roupillon leva la main et dit

Milano: Touche pas a la vodka...

Zolf: En éfait, si vous en voulez, j'organise un meting de vente demain a 15 heure.

Yzak soupira a la venu du nouveau venu et reprit un gorger de vodka tendit que Emil le détaillais avec intérêt.